Si tu parcourais le monde, chéri,
Pour une guerre, par amour ou devoir,
Je saurais rester tranquille ici,
Et dormir d’une traite le soir.
Ce serait un noble et doux désespoir
D’être séparé par une mer ;
Oh, mais t’avoir au coin du boulevard
Est pour mon cœur très amer.
Distance
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