Ca ne me cause ni remords ni ulcère D’écraser par mégarde un vers de terre « Mon cher petit, je lui dis toujours Ton clan me le fera payer un beau jour. »
Dorothy Parker, je l’aime d’amour. Elle était brillante, vilaine, douloureuse, mordante, sarcastique, et éminemment moderne. Alors, comme ses poèmes n’ont pas encore été traduits en France, je m’y suis attelée comme un petit bœuf laborieux. La tâche fut harassante, le résultat peu satisfaisant. Mais plutôt que de voir ces petits poèmes morts au fond d’un tiroir, j’en ai fait un Blog : approximative ou pas, Parker mérite d’être (re)connue !
Traductions protégées et enregistrées à la Société des Gens de Lettres sous le numéro 2006.09.0175.
2 comments:
Pas de pitié pour les vers de terre!
Haha! Tu es ma premiere visite sur ce blog. Le ton est donne!
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